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Force est de constater que depuis que les PTT ont été démantelé et les différentes entités transformées en SA cela ne fonctionne plus, notamment en matière de transparence des comptes. Le scandale de Car Postal nous amène à nous poser de sérieuses questions sur les comptes de la Poste qui ont amené à la fermeture de nombreux offices postaux partout dans le pays.

Au vue du scandale actuel, le PST/POP demande :

  • La démission du Conseil d’administration de la Poste qui devrait être remplacé par un Conseil dans lequel siégeraient entre autre, des représentants des deux syndicats des employés de la Poste, des travailleurs non-affiliés, ainsi que des usagers.
  • La démission de la directrice de la Poste, remplacée dans un premier temps par un comité de pilotage comprenant entre autre des représentants des employé-e-s.
  • Le remboursement des 78 millions indûment perçus. Ce montant déjà comptabilisé comme dépensé ne devrait pas retourner dans les comptes de la Confédération déjà largement bénéficiaires, mais être affecté à des projets pour la jeunesse (par exemple des bourses d’études pour les apprentis et étudiants).
  • Il est clair que dans cette affaire ce n’est pas aux travailleurs de payer les pots cassés. Nous n’accepterons aucune baisse de salaire, ni de licenciements à cause de la malhonnêteté de la direction de l’entreprise.
  • Nous nous opposerons également à toute tentative de privatisation de ce service ou proposition de sous-traitance.
  • Nous demandons également un moratoire sur la fermeture des offices de Poste, le temps que les comptes de la Poste soient clairement vérifiés, notamment ceux qui ont amené à la fermeture des offices soi-disant déficitaires qui, le cas échéant pourraient être ré ouverts.

Le PST/POP tient également à rappeler qu’une entreprise de Service publique n’a pas pour vocation de faire des bénéfices, mais de fournir, tel que prévu par la constitution un service publique universel.

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