[cmsms_row data_width= »boxed » data_padding_left= »3″ data_padding_right= »3″ data_color= »default » data_bg_color= »#ffffff » data_bg_position= »top center » data_bg_repeat= »no-repeat » data_bg_attachment= »scroll » data_bg_size= »cover » data_bg_parallax_ratio= »0.5″ data_color_overlay= »#000000″ data_overlay_opacity= »50″ data_padding_top= »0″ data_padding_bottom= »50″][cmsms_column data_width= »1/1″][cmsms_featured_block animation_delay= »0″]

Le PoP Valais/Wallis se positionne fermement contre la volonté du CF d’instaurer un pass(e) sanitaire à la française.

Contraindre n’est pas convaincre, or pour exiger de tous un élan de solidarité il s’agit d’argumenter et d’informer et non pas d’imposer.

L’utilisation de la force ne fera que renforcer le clivage autour de la question de la vaccination et légitimer les menaces de licenciement et autres formes de pression exercées par certains patrons sur les ouvriers. Le PoP refuse toute forme de discrimination et exige la protection des données personnelles.

D’après la littérature scientifique que nous avons à notre disposition, la solution pour enrayer la pandémie passe par une campagne populaire de vaccination massive. Pour convaincre les sceptiques et les indécis, en plus de la mise à disposition d’informations vulgarisées et de qualité, il faudrait que le gouvernement arrête de faire les yeux doux aux entreprises pharmaceutiques. Le CF, au nom de l’intérêt général pourrait obliger ces dernières à vendre les vaccins au prix de revient (ou faire tomber momentanément les brevets) et supprimer définitivement leurs privilèges fiscaux.

Les élites libérales ne peuvent pas constamment saper les bases d’une société décente puis exiger des citoyens une attitude exemplaire. Elles doivent montrer l’exemple et mener des politiques qui mettent au premier plan l’Humain et non pas le Marché.

[/cmsms_featured_block][/cmsms_column][/cmsms_row]