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Amnesty International a dénoncé des situations de violence et de mauvais traitement parfois assimilables à de la torture et ceci dans les centres d’hébergement pour requérants d’asile dans les cantons de Bâle, Fribourg, Neuchâtel et Vaud.

Dans ces cantons, le SEM a conclu des contrats avec des sociétés privées pour assurer la sécurité. Visiblement, ces sociétés font effectuer le travail par un personnel qui n’est ni assez formé, ni suffisamment qualifié. Débordé par des situations qu’il ne sait gérer, ce personnel recourt parfois à des méthodes inhumaines. Cette situation n’est pas acceptable, surtout dans notre pays qui se présente comme le champion des droits de l’Homme.

Ces tâches de sécurité doivent être assumées par l’Etat. C’est au service public d’assurer la sécurité des centres d’hébergement avec du personnel spécifiquement formé à cette tâche. Le maintien de la sécurité est une vraie profession qui ne peut s’apprendre « sur le tas ».

– Comment le Conseil fédéral répond-il au rapport d’Amnesty International sur la situation parfois catastrophique qui règne dans lesdits centres ?

– Dans quel délai le Conseil fédéral entend-il remédier à cette situation ?

– Quels moyens supplémentaires le Conseil fédéral entend-il mettre à disposition pour réellement assurer la sécurité des personnes vivant dans ces centres d’hébergement ?

Intervention de notre Conseiller National, Denis de la Reussille

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